Pourquoi et comment avez-vous rejoint l’aventure Excellence Ruralités ?
Avec mon mari et quelques amis, nous avons créé pendant le premier confinement un groupe de réflexion sur certains sujets de société. Rapidement, celui de l’éducation s’est imposé, et de là l’idée de la création d’une école. En effet, deux d’entre nous avaient été scolarisés en classes à petits effectifs, et en avaient mesuré le bienfait pour leur parcours scolaire. De plus, il nous semblait intéressant de proposer une alternative éducative. Nous avons entendu parler d’Excellence Ruralités, et avons contacté Jean-Baptiste Nouailhac. L’équipe en charge du développement des écoles pour la Fondation nous a beaucoup soutenus et accompagnés dans ce projet. Leurs conseils expérimentés et leur présence à des réunions officielles ont été décisifs pour l’acceptation du dossier par la mairie.
Qu’est-ce que vous en recevez ?
Nous recevons déjà une grande satisfaction de voir que notre projet va voir le jour, et une immense joie que notre territoire puisse bénéficier d’une telle école, portée par un tel esprit.
Excellence Ruralités en un mot ?
Chance ! Je crois profondément que cette école est une véritable chance pour le territoire du Confolentais, assez pauvre et enclavé. Avec 3000 habitants, nous sommes la plus petite sous-préfecture de France. Les jeunes ont tendance à partir aujourd’hui, et j’espère que notre école va au contraire favoriser leur enracinement dans ce beau territoire.